Bonnes balades à travers mes cours et mes images :-)
Même Lensbaby s’intéresse aux hybrides Sony Nex et micro 4/3 Panasonic ou Olympus 
Cet accessoire ludique se compose en fait de deux éléments et sert à flouter certaines parties de l’image.
Tout d’abord, le Tilt Transformer qui agit comme une bague d’adaptation permettant de monter un objectif Nikon sur des appareils micro 4/3 ou Sony NEX. De plus, grâce à sa boule rotative, il confère à l’objectif monté dessus une fonction tilt-shift.
Stefano est un photographe de talent, il est aussi un photographe à part à notre époque où la plupart sont obnubilés par le piqué de leur appareil photo plus que par ce que l’image dégage. Stef serait plutôt quelqu’un que je qualifierai : « Un peintre de son époque ». Son appareil est le prolongement du regard qu’il pose sur ce et ceux qui l’entourent, attentif à chaque ambiance, il entre en photographie comme certains entre en religion, toutes ses images parlent, charment, choquent, crient, sourient, rient, scandalisent ou font fondre, mais aucune ne laisse indiférent.
C’est un photographe dont le style est bien affirmé, vous serez sensibles ou non à ses images mais même si certaines vous semblent trop fortes pensez qu’il y a en a d’autres qui sont d’une infinie tendresse et que c’est avant tout le coeur de Stéfano qui parle et saisi chaque instant de cette vie que parfois nous ignorons. Sans pudeur Stef nous emmène aussi dans le monde de la nuit, il est l’un des rares photographes à pouvoir pénétrer et photographier certaines scènes du monde de la nuit.
Capable de photographier aussi bien de jeunes enfants que des personnes agées avec toute la tendresse qui doit leur être accordée, il sait aussi aborder bien d’autres sujets comme les concerts ou la vie nocturne des villes et se passionne avant tout pour l’être humain.
Certaines de ses images en dehors du fait qu’elle retrace la vie avec une force parfois percutante sont de véritables oeuvres d’art.
Chapeau l’artiste 
Mon Pentax K-x reprend du service, ici avec le 100 macro F/2.8 WR, J’en profite pour faire un clin d’oeil à Ecksell qui va dire , encore ce satané 100 macro qui me fait de l’oeil
Ouverture : F/2.8 vitesse : 1/640 à 400 iso.
Ouverture : F/10 vitesse : 1/60 à 400 iso
En compact on s’intéressera chez Fuji aux EXR, et particulièrement au F550 EXR qui est le fleuron de la gamme et le plus expert des nouveautés toutes marques confondues.
Il reprend le boitier du 300 EXR avec un zoom 15x commençant à 24 mm équivalent à un 24-360mm F3.5 – F5.3.
Le boitier passe en full HD à 30 i/s et enregistre en H.264 avec son stéréo. Le zoom peut être utilisée lors d’un enregistrement vidéo.
Fujifilm abandonne son Super CCD pour un CMOS rétroéclairé de 16 mégapixels.
Le nouveau processeur EXR est un Dual Core qui permet le traitement des aberrations chromatiques, une très grande rapidité de mise au point (Fuji annonce 0.16 seconde comme temps maximum pour faire la mise au point) et d’enregistrement.
On retrouve les 3 modes qui font le sucès des EXR : haute résolution (16 Mpx, mode normal), haute sensibilité (8 Mpx et fusion des pixels par paires pour diminuer le bruit numérique) et haute dynamique, qui prend deux images et les combine pour fournir une plage étendue jusqu’à 1600 %.
Le F550 EXR dispose aussi de fonctions avancées de reconnaissance de scènes, avec par exemple la mise en évidence de ciel bleu, de feuillages, d’un coucher de soleil, d’un sujet en contre-jour, etc.
Pour un compact le 550EXR est étonnant, il est capable en mode rafale de prendre 8 images en une seconde en pleine résolution… mais seulement sur 8 images. En baissant la résolution à 8 mégapixels (ce qui est déjà très bien), il peut monter à 11 images secondes sur 16 images de suite.
L’écran arrière est un classique 3 pouces mais de 460 000 pixels.
Enfin un compact avec une belle définition d’écran !
Les dernières nouveautés ne proposant que des écrans de 230 000 pixels ça fait plaisir.
Le F550 EXR dipsose d’un récepteur GPS et offre la possibilité d’enregistrer en Raw. C’est le boitier le plus expert annoncé malgré les dizaines de compacts qui sortent ces derniers temps.
Le GPS évolué est vraiment intéressant car en plus de localiser l’endroit où vous avez pris vos photos il peut géotaguer les photos pour Google Earth par exemple et les positionne automatiquement sur une carte. De plus grâce à la fonction « Photo Navigation »il vous permet de retrouver le chemin vers un lieu où votre photo a été prise. Si vous retrouvez la photo d’un lieux ou d’un monument, vous demandez au F550 EXR de vous guider jusqu’à celui-ci comme avec n’importe quel GPS. Je trouve ça très intéressant. La fonction « Journal de Route » permet d’enregistrer sur la carte le chemin parcouru et revivre un voyage sur une carte. Le Fujifilm F550EXR enregistre la position toutes les 10 minutes. Une fois les images transférées sur l’ordinateur, via le logiciel MyFinePix Studio (le logiciel de visualisation d’images fourni avec l’appareil), une carte de l’itinéraire, associant les photos prises sur le chemin, est créée sur « Google Maps ». Au cas où vous utilisez cette derbnière fonction il sera pludent de prévoir plusisuers batterie, le GPS utilisant bien sûr de l’énergie. N’oubliez pas non plus de stopper l’option « Journal de Route » la nuit.
Le boiter offre aussi le mode panoramique à 360° par balayage ce qui intéressera les amateurs de paysages.
Le F500 EXR possède les mêmes caractériqtiques mais sans GPS ni enregistrement Raw et la rafale est limitée à 3 images/ seconde.
Ces deux appareils proposent les modes auto, priorité ouverture ou vitesse, manuel et le mode film pour simuler des films argentiques. On retrouve les excellents modes EXR de Fuji. Les boitiers sont stabilisés par déplacement du capteur.
Sensibilité : de 100 à 3200 iso extensible jusqu’à 12 800 iso.
Niveau électronique, histogramme.
Mode panorama.
Format de fichier : Jpeg, Raw, jpeg + Raw.
Format de photos : 4/3 3/2 et 16/9ème.
Vidéo : Full HD (1920 x 1080) compatible DCF, format MOV H.264
Stabilisation par déplacement de capteur.
USB2 et HDMI (port mini HDMI).
Energie : batterie (environ 300 photos par charge).
Dimensions : 104 x 63 x 33 mm
Poids : 215 grammes avec batterie et carte mémoire.
Cartes mémoire : SD, SDHC et SDXC.
Voilà un boitier qui semble sortir du lot et qui ravira aussi bien le débutant que l’expert qui souhaite avoir un compact facile à emporter partout.
Tarifs :
Le F550EXR devrait être proposé à 320 euros et le F500EXR à 290 euros.
Disponibilité : Début mars 2011
Je vous en avais déjà parlé mais au vu des photos je considère qu’il vaut bien un article à part entière.
Quand je compare les photos issues de ce boitier et celles issues du Panasonic TZ20 ma préférence va tout de suite vers ce boitier, d’autant plus qu’il gère les photos à 3200 iso de façon étonnante (sans avoir les capacités en hautes sensibilités d’un réflex dernier cri, quand même, soyons raisonnables .
Rappel des fonctions EXR pour ceux qui ne connaissent pas les boitiers Fuji :
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