Zeiss annonce un nouvel objectif en monture E, un zoom 15-30mm f/2.9, d’accord il est avant tout dédié à la vidéo, mais quand même… le prix !!!!!!
Vous êtes assis, bon alors je vous le donne : 17 900 € !
Ce sera évidemment sans moi hein
Zeiss annonce un nouvel objectif en monture E, un zoom 15-30mm f/2.9, d’accord il est avant tout dédié à la vidéo, mais quand même… le prix !!!!!!
Vous êtes assis, bon alors je vous le donne : 17 900 € !
Ce sera évidemment sans moi hein
Au village d’à côté il y avait un petit dîner-concert organisé par le café, comme assez régulièrement, c’est toujours sympa avec une bonne ambiance. Evidemment là on ne joue pas dans la cours des grands mais en général les musiciens ne sont pas mauvais du tout.
Le gros souci pour prendre des photos c’est que 1 au niveau de la lumière ce n’est vraiment pas top, mais alors pas du tout, et 2 que si on attend que le concert démarre vraiment, le café est blindé de monde. J’en ai donc quand même profité pour prendre deux ou trois photos avec le Sony A7 avant l’arrivée de la foule, pas top à… 6400 iso ! Mais je viens de faire des tirages en 10×15 et ça passe sans souci dans ce format.
En plus je n’ai toujours pas d’objectif dédié donc je me suis contentée d’emporter le 18-55mm pour Nex monté sur le A7.
Encore un peu de fouillis avant de démarrer vraiment le concert.
Une dernière, après les gens sont arrivés et ça devenait impossible d’arriver à se placer correctement pour prendre des photos.
Soirée très agréable en retrouvant des musiques oubliées, depuis 1954 (je n’étais pas née) à nos jours, un peu de jazz, du rock, du funk, du hard rock, de la variété, etc. De tout, en reprenant les gros tubes français ou étrangers de presque chaque année. Très sympa cette soirée musicale avec un des guitaristes qui était vraiment au top.
J’avais laissé les iso en auto et réglé l’ouverture sur f/8 mais pas assez de vitesse, puis sur 5.6, puis 4.5 mais je n’ai pas pu descendre sous les 3200 iso.
La première (qu’en fait j’avais pris en dernier) : ouverture réglée sur f/4.5, vitesse 1/60ème de seconde à 3200 iso.
La seconde : ouverture réglée sur f/5.6, vitesse 1/40ème de seconde à 6400 iso.
La troisième : ouverture réglée sur f/5.6, vitesse 1/100ème de seconde à 6400 iso.
Les trois à la focale de 55mm (équivalent 82.5mm avec le recadrage auto).
En tout cas ça m’a fait du bien, j’avais envie de danser mais il n’y avait pas la place et je suis timide, je ne connaissais pas grand monde, je n’aurai pas osé mais ça me démangeait.
P.S. Pfuuu le passage par le web n’a pas arrangé les photos ! Elle sont tout de même meilleures avant le transfert. Enfin ça donne quand même une petite idée. On en fera pas des posters
Je ne déteste pas le rendu en noir et blanc qui donne un certain cachet « vieilles photos » d’un autre temps à ces images. A remarquer que malgré le grain et le lissage on garde des nuances même dans les ombres et que les blancs n’ont pas fortement grillés. Un fois de plus je remarque que ce boitier a « du caractère », style argentique et j’aime bien, même quand les photos ne sont pas parfaites, il donne un style particulier aux images. Alors bien sûr on aime ou pas
Note : ce tableau est également valable pour les Nikon D800 et D800E qui partagent le même capteur plein format 24 X 36.
Vous êtes un peu perdu avec la profondeur de champ (zone de netteté) du full frame par rapport à votre appareil précédent, je vous ai dressé un petit tableau pour l’hyperfocale dont on se sert pour avoir la profondeur de champ la plus grande possible et ceci jusqu’à l’infini.
Pour les grands paysages les photographes ont souvent tendance à faire la mise au point sur l’infini, c’est une erreur car vous perdez de la profondeur de champ. Sur la tableau les distances sont données au centimètre près ce qui est impossible à réaliser sur le terrain mais vous saurez mesurer à l’oeil (ou au pas) la bonne distance et faire la mise au point sur cette distance, on est pas au centimètre près.
Je vous donne les calculs pour les principales focales du A7 et du A7 R.
Sur le tableau l’hyperfocale est la distance à laquelle il faut régler la mise au point, à côté la distance où votre image sera nette, en avant de cette distance l’image sera progressivement dans le flou si cette distance proche est dans le cadre ce qui est rare quand on prend une photo de paysage à hauteur d’homme.
Si votre sujet principal est plus proche il faut évidemment faire la mise au point plus près de vous, l’hyperfocale s’utilisant principalement pour des paysages assez larges où l’on souhaite avoir tout net et ceci jusqu’à l’infini.
Tout ne sera pas parfaitement net sur les lointains sauf par très beau temps, le voile atmosphérique jouant son rôle donc n’oubliez pas de penser au filtre UV à visser sur l’objectif pour atténuer le voile atmosphérique.
Il est évident que plus on monte en focale moins la profondeur de champ est grande, on évite donc avec des paysages dont on souhaite une grande zone de netteté d’employer une téléobjectif si on souhaite que celle-ci s’étende jusqu’à l’infini.
On remarque aussi que l’ouverture joue un grand rôle, on le savait déjà mais il est bon de le rappeler. Si on manque de lumière il vaudra donc mieux, soit travailler sur trépied pour garder une ouverture entre f/8 et f/16, (f/16 à ne pas dépasser même avec un full frame car la diffraction viendra diminuer la qualité de l’image, l’idéal sur de grands paysages se situant entre f/8 et f/13), soit monter en sensibilité. Les full frame actuels supportent très bien une montée à 800 iso sans dégradation de l’image.
On remarque donc que pour un grand paysage l’idéal est bien entendu la focale 24mm (voire moins pour les paysages vraiment immenses) avec une ouverture de f/8 à f/11 où tous les plans seront nets d’environ 1m à l’infini en faisant la mise au point à environ 2m de vous. Personnellement j’ai toujours tendance à faire la mise au point un peu plus loin que 2 m même avec la focale de 24mm, pour être sûre d’avoir des plans lointains dans la zone de netteté.
Un exemple : si par exemple je faisais ma mise au point à 5m avec mon 24mm et une ouverture de f/8 au lieu de la faire sur l’hyperfocale sur 2.63m je serai nette de 1.63 m à l’infini au lieu de 1.21 m à l’infini, il n’y aura donc pas grande différence quand on emploie un grand angle. Tant qu’on reste en grand angle et une ouverture correcte entre f/8 et f/13 on a donc pas besoin de prendre un mètre pour mesurer où faire exactement la mise au point
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Avec un boitier plein format la zone de netteté est bien plus réduite qu’avec un capteur APS-C et encore plus qu’avec un capteur micro 4/3 ou de compact.
Exemple avec un boitier plein format 24-36 si on fait la mise au point à 10 mètres :
Ici on sera net à partir de 8.57m de vous jusqu’à un éloignement de 12m soit une profondeur de champ de 3.43m (12m – 8.57m = 3.43m).
En général à partir de 50mm on ne cherche plus à avoir une netteté sur tout le champ jusqu’à l’infini, rien que parce que la focale est nettement plus élevée et que le cadre est donc plus resserré. Le but est plutôt de tirer des portraits ou d’obtenir des photos de sports, d’animalier ou de détails d’architecture, voire de prendre des photos de rues qui n’ont pas besoin de netteté jusqu’à l’infini vu que les rues font rarement plusieurs milliers de mètres.
De plus, plus on monte en focale plus la profondeur de champ se réduit (si vous ne savez pas ce qu’est la profondeur de champ, lisez d’abord cette page à cette adresse : —–> La profondeur de champ ) sinon la suite de mes explications risque de vous paraître du chinois.
Plus on ouvre le diaphragme (petites chiffres d’ouverture) plus la profondeur de champ se réduit, surtout avec un full frame 24×36.
Ces grandes différences sont un des atouts du plein format comme nous allons le voir facilement dans les tableaux que je vous mets en lien.
Pourquoi les mettre en lien ? D’une part pour que cette page ne soit pas trop longue et d’autre part pour que vous puissiez les imprimer individuellement sans que les pages soient coupées n’importe comment à l’impression. Vous pourrez ainsi les mettre dans votre sac photo et les emporter comme pense-bêtes avec vous.
Cliquez sur les liens :
► Profondeur de champ de boitier full frame 24×36 avec un 50mm
► Profondeur de champ de boitier full frame 24×36 avec un 70mm
► Profondeur de champ de boitier full frame 24×36 avec un 85mm
► Profondeur de champ de boitier full frame 24×36 avec un 100mm
► Profondeur de champ de boitier full frame 24×36 avec un 150mm
► Profondeur de champ de boitier full frame 24×36 avec un 200mm
La chose que vous allez tout de suite remarquer en lisant les tableaux c’est que plus vous êtes proches de votre sujet, plus la profondeur de champ est courte :
Exemple avec un 50mm à l’ouverture moyenne de f/5.6 :
Si mon sujet est à 1 mètre et que je fais la mise au point sur lui, j’aurai une profondeur de champ de 13 cm ! J’éviterai donc d’essayer de prendre un portrait à 1 mètre de la personne.
Et ce sera pire si je suis à une focale de 70mm :
Avec mon sujet à 1 mètre de moi à la même ouverture de f/5.6 là je n’aurai plus qu’une profondeur de champ de 6 cm. Avec un peu de malchance et de manque de précision de ma mise au point seul son nez sera net ! Par contre si je décide de me mettre à 3 mètres de mon sujet avec mon 70mm, toujours à l’ouverture de f/5.6 ma profondeur de champ sera plus grande : 62 cm, pour peu que la personne ne soit pas collée à un mur je pourrai donc lui tirer le portrait en ayant tout son visage bien net qui se détachera sur un fond qui sera dans le flou.
On se rend donc compte que d’une part plus on monte en focale plus la zone de netteté est réduite, mais que par contre plus on s’éloigne du sujet, plus elle est étendue et ceci pour la même ouverture de diaphragme puisque dans chaque cas que je viens de citer je suis toujours à une ouverture de f/5.6.
Vous pataugez dans la semoule ? J’avoue qu’au début quand on débute ce n’est pas facile, mais regardez les tableaux, ça va devenir beaucoup plus clair
Et ensuite comparez les entre eux pour une même ouverture et une même distance avec des focales différentes. On se rend compte qu’en fait on peut faire à peu près ce que l’on veut en choisissant la bonne focale, la bonne ouverture et la bonne distance de mise au point.
Par contre il est certain que les boitiers full frame pardonnent beaucoup moins les erreurs que les appareils photos qui ont un plus petit capteur.
Les tableaux seront principalement utiles quand on veut définir une zone de netteté assez courte pour faire ressortir un sujet sur un fond flou, comme je vous donne à chaque fois la profondeur de champ pour chaque focale, chaque ouverture et chaque distance on a une idée assez exacte de ce que l’on pourra obtenir quand on veut jouer sur le flou/net avec un sujet qui se détache bien sur un fond flou. A noter que plus le fond sera éloigné du sujet plus il sera flou et il faut bien sûr qu’il soit au delà de la zone arrière de profondeur de champ si on veut que le fond soit dans le flou.
Si vous n’êtes pas expert je vous conseille vraiment de lire en premier l’article sur la profondeur de champ dont j’ai mis le lien plus haut, il est très clair et vous aidera à mieux comprendre ce que je viens d’expliquer même si vous débutez.
Avantage des hybrides avec des capteurs plein format :
Avec un reflex vous ne vous rendez pas compte de ce qui sera exactement sur la photo et pour peu que vous n’ayez pas de bouton de test de la profondeur de champ, si vous n’avez pas l’habitude, vous risquez d’avoir pas mal de surprises. Avec un hybride doté donc d’un viseur électronique, vous voyez exactement ce qui sera sur la photo donc aussi la profondeur de champ, avant même de prendre la photo, c’est un énorme atout car on voit parfaitement les zones qui seront dans le flou et celles qui seront parfaitement nettes.
Et voilà avec cet article vous savez comment prendre des photos avec tout net dans l’image grâce à l’hyperfocale et un grand angle ou comment jouer sur la profondeur de champ et isoler un sujet bien net sur un fond flou avec votre appareil photo 24×36 et des objectifs dits standards ou un téléobjectif
Panasonic a dévoilé un nouvel objectif interchangeable signé Leica : un 15mm f/1.7 équivalent 30mm en 24×36 pour les boitiers micro 4/3.
9 éléments en 7 groupes et trois lentilles asphériques. Les lentilles asphériques suppriment l’aberration sphérique et la distorsion de manière efficace. L’objectif possède une bague d’ouverture. La distance minimale de mise au point est de 20 cm.
L’objectif intègre un système de mise au point interne supérieur. L’inclusion d’un moteur nouvellement développé rend l’action de mise au point silencieuse et plus rapide pour une utilisation à la fois en photo et en enregistrement vidéo.
Dimensions : 5.8 cm (diamètre) x 3.6 cm
Poids : 115 grammes
Diamètre de filtre : 46mm
Monté sur un GM1 :
L’objectif sera disponible en kit avec le Panasonic GM1 à partir de mi juin au prix de 1 000 € ou seul à partir de début juin pour 550 €. Il sera disponible en noir ou argent.