Aubade-Photos

 

 

Les indispensables :

Le sac photo :

Protéger son appareil est indispensable, même si c’est un compact, les lamelles protégeant l’objectif étant souvent fragiles. Il faut le choisir suffisament grand pour un bridge ou un réflex. De plus si vous choisissez la bonne taille vous pourrez y ranger vos accessoires, vos clés, vos papiers, le téléphone portable. De la simple pochette pour compact au sac à dos le choix est large. Il vaut mieux éviter les sacs de grandes marques (Lowerpro, Nikon, Canon) qui renseignent tout de suite les voleurs potentiels de ce qui se trouve dans votre sac. Il faut le prévoir suffisament grand pour pouvoir y ajouter non seulement l’appareil mais tous les accessoires indispensables.

Si vous êtes photographe animalier et/ou sportif et que vous êtes équipés de grands et gros zooms le sac à dos s’impose.

Des sacs sympas pour les femmes et surtout qui n’attirent pas l’attention des voleurs d’appareils photos :

Tamrac propose des sacs qui ressemblent à des sacs de ville, voilà une idée sympa.

Ils sont disponibles en plusieurs tailles et sont tropicalisés pour supporter la pluie. On peut y loger un petit réflex avec son optique standard ou un bridge (ou encore un hybride).

Dimensions pour le modèle Aria 3 :
Dimensions internes :  23 x 11 x 19 cm
Dimensions externes : 24 x 14 x 20 cm
Poids : 340g

Le logement est bien étudié :

Le boitier prend place à l’intérieur ainsi qu’un objectif et un flash par exemple.

Une poche à fermeture éclair est aussi disponible à l’avant pour des articles personnels comme un petit portefeuille et vos clés. Deux poches latérales externes et minces peuvent contenir de petits objets comme un téléphone ou un iPod, tandis qu’une poche arrière ouverte permet de garder un manuel à portée de main. La bandoulière dispose d’un patin anti-glissement pour le confort lors du transport.

C’est à mon avis un peu juste pour un réflex, on lui préfèrera pour ce dernier l’Aria 6 :

Dimensions internes :  30 x 13 x 22 cm
Dimensions externes : 31 x 14 x 23 cm
Poids : 510g

Le hic est le prix mais quand on aime…

On trouve l’Aria 3 entre 60 et 69 euros chez amazon en noir, brun ou kaki et l’Aria 6 entre 72 et 83 euros pour les mêmes couleurs.

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La carte mémoire : Au moins une si ce n’est deux si vous partez quelques jours. Il vaut toujours mieux en avoir deux, au cas où une vous lache vous aurez toujours la seconde.

Préférez les cartes de marques comme les Sandisk, Lexar en SDHC classe 10 ou SDXC si vous filmez avec votre appareil.

Le kit de nettoyage optique :

Obligatoire pour nettoyer l’objectif en cas de poussières ou de traces de doigts.

Le pinceau soufflette permet de retirer les poussières ou grains de sable avant le nettoyage de la lentille de l’objectif, Sans cela vous risquez de rayer le verre lorsque vous passerez le papier nettoyant sur lequel vous aurez déposé une goutte de produit. Il existe aussi des pinceaux stylos dont les poils sont rétractables.

Attention de toujours maintenir les poils du pinceau très propres.

Pensez à nettoyer le bouchon d’objectif par la même occasion

Pour le produit il ne faut ne faut pas le déposer sur la lentille de l’objectif mais sur le papier de nettoyage.

Vous devez toujours avoir ce kit de nettoyage avec vous, Ce serait vraiment dommage de rater une série de photos parce que la lentille de l’objectif est soudain très sale.

Le filtre UV:

Pour tous les appareils munis d’un pas de vis à l’avant de l’objectif, c’est un accessoire indispensable. On ne pourra pas le monter sur un compact car ceux-ci n’ont pas de pas de vis, sauf exception.

Pour protéger l’objectif, en cas de rayure due à une branche ou à un choc, il coute toujours moins cher de remplacer un filtre que l’objectif ou l’appareil entier, de plus il atténuera sur les lointains le voile athmosphérique.

Indispensable aussi le Pare-soleil

Il se fixe à l’avant de l’objectif, il sert à plusieurs choses, en premier à éviter que le soleil ou qu’une source lumineuse ne vienne éblouir le capteur ou la lentille frontale, provoquant alors du flare ou simplement diminuant la qualité de votre photo. En second on aurait pu aussi l’appeler « Pare-pluie ». Même avec un appareil tropicalisé il n’y a rien de plus désagréable que de voir son objectif se couvrir de plein de goulettes d’eau, ce qui n’est d’ailleurs pas très bon pour l’objectif lui-même. Le paresoleil devient alors un allié indispensable pour les jours pluvieux.

Le paresoleil permet aussi de protéger des chocs et des rayures la lentille avant de l’objectif en particulier des grands angles à lentille bombée qui ne peut être protégée par un filtre.

Il existe 4 sortes de paresoleils :

Classique :

Le plus classique est rond, dur, souvent en platique ou en métal, noir, et ressemble à un cylindre ou à un cône. Il est principalement utilisé pour les objectifs standards ou les téléobjectifs.

Souple :

Il est parfois intéressant d’en avoir des souples comme celui ci-dessus, son grand avantage est d’avoir une forme classique lors de l’emploi, mais de pouvoir devenir presque plat lorsque l’on veut le ranger : à peine 15mm d’épaisseur une fois que vous avez appuyé dessus pour qu’il se replie en accordéon et devienne comme sur la photo. Lorsque l’on emporte plusieurs objectifs, c’est un gain de place énorme de pouvoir avoir plusieurs paresoleils souples.

Tulipe :

Comme sur la photo du haut, on l’appelle aussi « en corolle ». Il accompagne plutôt les objectifs grand angle.

Carré :

Etudié aussi en majorité pour les objectifs grands angles, sa base au lieu d’être évasée est plate, s’élargie au niveau du pas de vis avant de s’évaser vers l’avant comme les autres tout en gardant une forme un peu carrée, je les préfère aux paresoleil tulipe qui ne sont pas toujours efficace suivant l’angle de la lumière.

Les suppléments :

Niveau à bulle :

Vos photos penchent souvent, armez vous de ce mini niveau à bulle triple 3 axes pour moins de 6 €, il se fixe dans la griffe flash de votre appareil photo. Certains ne sont que sur deux axes mais remplissent aussi très bien leur rôle.

Les trépieds :

Le trépied souvent bien utile lors de prises de vues en vitesse lente, il peut aussi être un mini-trépied de table pour les petits compacts ou bridges ou encore un gorillapod. Le Gorilla ici en photo à gauche et ci-dessous peut-être accroché partout, sur un poteau, une branche d’arbre, un pied de chaise ou tout simplement posé sur une table, un muret, le toit d’une voiture… Il est même muni d’un petit plateau rapide pour le mettre vite en place tout en laissant le plateau vissé sous l’appareil photo. Le Gorillapod existe en plusieurs tailles et vaut de 20 € (pour appareil compact) à 120 € (pour appareils réflex ou camescopes).

Pour les reflex un peu lourds on choisira bien sûr quelque chose de plus solide comme un trépied étau ou un trépied classique, avec un plateau rapide et si possible avec 3 jambes indépendantes (pas d’entre-axes) et une rotule fluide accompagnée d’une tête vidéo qui permet de régler les 3 axes avec une seule manette. Manfrotto fabrique des trépieds très solides qui dureront des années et offre une très grande diversité de choix.

Le gorilla torch :

Avril 2010 : il y a maintenant le gorilla torch. Voilà à quoi il ressemble :

D’une puissance de 65 lumens avec une autonomie jusqu’à 100 heures le GorillaTorch est monté sur un trépied fexible qui s’enroule à tous support (branche d’arbre, barrière, piquet…).

Les embouts des pieds sont magnétiques afin de s’agripper aux supports métalliques comme une carosserie automobile par exemple.

Caractéristiques de la toche JOBY GorillaTorch

Puissance : 65 lumens

Autonomie : jusqu’à 100 heures avec 3 piles AAA non fournie

Equipé d’un variateur de lumière

Autofixante : montée sur trépied flexible à embouts magnétiques

Il vaut environ 40 euros.

L’ayant acheté, il est plus utile pour éclairer quelque chose dans la voiture que pour les photos, non pas qu’il n’éclaire pas bien mais que les ronds de lumière produits se voient très nettement. Il est donc très pratique parce qu’aimanté, ( il tient vraiment bien), mais à la limite si vous n’avez pas besoin de l’accrocher quelque part une lampe torche fera aussi bien.

Il pourra quand même servir d’éclairage d’appoint si on le place relativement loin des objets à photographier.

Le Gps-photo (compter 160 €) pour ceux qui voyagent beaucoup et se déplacent souvent :

La localisation géographique des photos numériques, le GPS se fixe directement sur la griffe porte-accessoires d’un appareil reflex numérique, comme un simple flash. Ce nouveau concept de capture d’images engendre de nouvelles technologies pour associer automatiquement aux images les coordonnées GPS du lieu où elles ont été enregistrées.

Des filtres neutres et dégradés à monter sur sytème Cokin :

Pour tous les appareils dotés d’un pas de vis à l’avant de l’objectif.

Prendre la taille P pour les filtres.

L’avantage du système Cokin est qu’il vous permet de faire coulisser votre filtre dans son support afin de placer le dégradé de façon optimale. Second avantage c’est que les filtres peuvent servir pour tous vos objectifs, il suffit d’avoir une bague d’adaptation pour chaque objectif, ce qui revient beaucoup, beaucoup moins cher que d’acheter des filtres dégradés de chaque taille pour chaque optique.

Ce système n’est par contre pas intéressant pour monter un filtre UV de protection parce qu’il faut démonter le porte filtre pour remettre le bouchon d’objectif, mais pour tout ce qui est créatif, il est très intéressant. Il existe des centaines de filtres que vous pourrez monter sur le système Cokin.

Je vous déconseille les filtres dégradés bleus pour le ciel, le ciel parait alors trop articiel, il vaut 100 fois mieux utiliser un filtre dégradé gris neutre qui foncera le ciel, et qui au moins ne transformera pas la tête d’un arbre en bleu si jamais la cime de celui-ci déborde un peu sur le dégradé.

Lire l’article sur les filtres dans la rubrique photos pour plus de précision.

Les bonnettes macros.

Pour les compacts (si ces derniers ont un pas de vis à l’avant de l’objectif), bridges ou réflex pour augmenter le rapport de grossissement d’un objectif macro :

La meilleure est la Canon 250D mais vous pourrez aussi opter pour des bonnettes Hoya que vous possédiez un bridge ou un réflex (ou encore Raynox pour un bridge).

La protection écran :

Sous forme de film qui se colle sur l’écran, les mêmes que ceux qui servent pour les PDA font très bien l’affaire, ils se mettent en place relativement facilement et se retirent sans laisser de trace.

Une visière d’écran repliable et bien pratique pour les photos en plein soleil :

Non seulement elle protège l’écran du soleil afin de pouvoir viser autrement qu’au jugé en cas de luminosité intense, mais elle protège l’écran lorsque vous ne prenez pas de photo.

Ici montée sur un Sigma DP1

Une seconde batterie : C’est parfois un plus si vous partez loin de toute prise de courant, si vous prenez beaucoup de photos ou utilisez beaucoup la vidéo.

Des feuilles de sopalin : A avoir toujours dans la voiture, on ne sait jamais, il faut parfois essuyer quelques gouttes de pluie sur l’appareil que l’on aura pas eu le temps de ranger dans son sac à temps. J’en mets toujours deux ou trois feuilles au fond de mon sac photo, car souvent pour ranger l’appareil il faut réduire le zoom et si celui-ci est un peu mouillé les gouttes vont de retrouver à l’intérieur du fut ce qui n’est pas idéal. Je pourrai donc essuyer l’apn avant de le ranger.

Pour les passionnés de photos de petits objets : Le rail :

Rail de Mise Au Point en Croix / Plaque Coulissante

Le rail est un accessoire indispensable pour la macrophotographie de petit objet, qui exige une modification précise de la mise au point et un support stable.

Aussi conçu pour la prise de vue panoramique.

Les deux rails de 15 cm permettent le mouvement dans quatre directions, à droite, à gauche, en avant et en arrière.
Vis de taille 1/4 pour tous les trépieds standards.
Boutons de verrouillage assurant un montage extrêmement stable.
Pour les soufflets, les tubes d’extension et les objectifs macros.

Pour tous les SLR et les DSLR.
Pour toutes les marques, Canon, Nikon, Sony, Minolta, Olympus, Pentax, etc

Fabriqué en métal

Comptez 49 euros sur le site Izenet.

Comme c’est galère à l’heure actuelle de trouver un rail, je vous donne le lien dans un commentaire (du 18 février 2011) plus bas.

A la maison :

Se fabriquer des réflecteurs pas chers :

Le flash donne souvent des photos qui perdent une partie de leur âme, surtout si c’est le flash intégré qui a été utilisé. Les réflecteurs qui vous permettent de renvoyer la lumière sur le sujet sont chers et n’ont pas beaucoup de choix de taille. De plus si vous n’avez pas d’assistants pour les tenir ce n’est pas toujours pratique.

Une idée simple, faire couper pas loin de chez vous des plaques de bois de 5 ou 8 mm d’épaisseur, (ou récupérer des plaques de bois que vous avez déjà) vous pouvez choisir d’en avoir en plusieurs tailles. Ensuite vous achetez du papier cadeau ou du papier pour couvrir les livres, de couleur argent et de couleur or (la couleur or renvoie une lumière plus chaude). Vous collez votre papier sur vos plaques de bois et le tour est joué, si vous êtes bricoleur vous pouvez ajouter un pied orientable à l’arrière afin de gérer l’inclinaison du réflecteur en ajoutant un poteau de bois mince fixé en haut de la plaque de bois avec de petites charnières, vous pourrez ainsi gérer l’inclinaison de la plaque en écartant plus ou moins le pied. Vous lui ajoutez aussi un ou 3 crochet(s) en haut pour pouvoir si besoin est l’accrocher à une branche d’arbre ou à la place d’un tableau et vous n’aurez même plus besoin d’assistants:-) Vous en peindrez aussi un en blanc brillant. Vous voilà en possession de tout un choix de réflecteurs (des petits, des grands, (et des ronds si vous avez une scie électrique),des carrés ou rectangulaires etc.) qui ne vous auront pas coutés cher

En dehors du sac photo mais indispensables :

Le lecteur de carte mémoire :

Le logiciel de retouche :

De Photofiltre presque gratuit et téléchargeable sur le web (voir rubrique liens utiles) ou Photoshop Elements qui pour moins de 100 € fait presque tout ce que sait faire son grand frère pro à Lightroom (complexe à utiliser pour les non experts) ou à Photoshop CS4 ou 5 (la référence en retouche professionnelle), le choix est large.

Un catalogueur :

XnView Il vous permettra de trier et visionner vos photos aussi bien en taille écran ou moins qu’en plein écran, il vous permettra aussi de déplacer des photos d’un répertoire ou d’un disque à un autre tout en voyant les photos que vous vous apprêtez à changer de place, je vous conseille XnView totalement gratuit et téléchargeable dans la rubrique liens utiles (un tutoriel est aussi sur le blog dans la rubrique post-traitement).

Pas indisensables mais très utiles :

Le Modosteady de Manfrotto

Voilà un stabilisateur bien utile.

Ses multiples fonctions vous permettront d’optimiser l’utilisation de votre appareil photo ou votre caméscope pendant les tournages vidéo ultra sensibles au moindre tressaillement.

Il peut être utilisé selon trois modes :

1. En support d’épaule, très pratique pour effectuer des mouvements panoramiques lors du tournage à main levée.

2. En stabilisateur avec contre-poids. Il doit être réglé afin de trouver la position d’équilibre idéale , en fonction du poids et du centre de gravité de votre appareil.

3. Enfin, en trépied de table. Le bras d’extension étant alors replié et la poignée ouverte, le Modosteady devient alors un trépied de table.

Comptez environ 90 €

Afin de mieux contrôler le camescope, une télécommande MANFROTTO 585LNC est disponible (vendue séparémment). Elle est compatible avec les caméras Sony et Canon munie de prise LANC.

Le modosteady pèse 500 grammes, il peut supporter une charge jusqu’à 700 grammes (il ne conviendra donc pas au réflex, mais pourra supporter le Panasonic G5 ou GH3 avec l’objectif standard, un Sony Nex, un Olympus OM-D ou E-PL5, un compact ou un bridge. En position stabilisateur il mesure 44 cm.

Le but du modosteady est de garder l’appareil parfaitement horizontal pendant le tournage et pouvoir filmer tout en marchant pas exemple en gardant une image stable.

Les disques durs externes

Le disque dur externe Western Digital ou Ioméga en format 2.5 pour stocker vos photos, si un jour vous changez de PC ou si le votre rend l’âme vous serez bien contents d’avoir vos photos à l’abri sur le disque externe que vous pourrez d’ailleurs confier à des amis ou la famille lors de vos départs en vacances pour qu’en cas de cambriolage vous n’ayez pas tout perdu. De plus ils sont jolis et disponibles en plusieurs couleurs. Au prix des disques durs inutile de s’en priver. Il sera bien pratique aussi si vous souhaitez transférer vos photos d’un ordinateur à un autre et même monter des diaporamas que vous pourrez aller montrer à vos amis sans emporter votre PC portable si ils ont la bonne idée d’avoir un ordinateur chez eux.

Ils n’ont pas besoin de prise murale pour fonctionner, ces petits disques externes de format 2.5 prennent leur énergie à travers le cable USB que vous branchez sur votre PC.

Et le case-logic pour le mini disque dur :

Imprimer partout :

Si vous n’avez pas d’imprimante photo ou même, pas d’ordinateur, si vous ne faites que des tirages 10×15, pourquoi ne pas se laisser tenter de faire ses tirages soi-même pour les avoir tout de suite, avec une petite imprimante autonome ? (qui peut aussi bien sûr être reliée à un ordinateur). Il vous suffit de la brancher sur un prise électrique, d’insérer la carte mémoire, de choisir les photos à imprimer et hop une minute plus tard vous admirez votre oeuvre ou vous en faites cadeau à vos amis chez qui vous êtes en train de passer le weekend. Certaines comme les HP permettent même des tirages 13×18 en plus du 10×15. (Compter dans les 150 € pour quelque chose de correct pour ce type d’imprimantes). Les petites Canon Selphy et les Epson sont aussi très bien pour ce type de tirage en petit format. Si vous préférez un imprimante photos pour pouvoir faire des tirages de plus grande taille (elle sera donc non transportable), les imprimantes photos de marque Epson sont les plus qualitatives à condition de ne pas opter pour une imprimante multifonction mais pour une véritable imprimante photo.

Un stylet plutôt qu’une souris :

Vous en avez assez de faire vos sélections à la souris sur vos photos, ce n’est vraiment pas pratique, ou vous aimez la retouche, vous passez du temps en post-traitement à rendre vos photos encore plus belles. Vous aimez vous amuser à détourer un objet ou une personne pour l’inclure dans un autre fond, etc. Un stylet sans fil pourra remplacer la souris pour ce genre de tache, si vous optez pour une tablette Wacom vous pourrez même peindre si vous êtes artistes car le stylet sans fil est sensible à la pression et à l’incinaison. Le stylet qui accompagne la tablette vous autorise toujours à vous servir de votre souris, il vient juste en plus pour ces taches qui demandent de la précision. On trouve maintenant des tablettes graphiques de marque Wacom (la référence) à des prix très abordables. Inutile d’investir dans une grande tablette A4, une A5 suffit amplement.

Bien pratique pour travailler : le bi-écran

Travailler sur deux écrans que ce soit en photo ou en vidéo est un confort inestimable ! D’un côté je mets mes miniatures et mes palettes de l’autre la photo en plein écran pour pouvoir la travailler à l’aise, ici c’est avec Lightroom, mais Photoshop CS gère aussi parfaitement le double affichage. Et cela ne sert pas qu’en photo, cela vous permet d’afficher un logiciel sur un écran et un logiciel sur l’autre. De plus avec les processeurs double ou quatre coeurs vous pouvez faire plusieurs taches à la fois, faire calculer une vidéo avec plein d’effets sur l’un pendant que vous faites autre chose sur l’autre écran. C’est un confort non négligeable. Vous n’êtes pas obligé d’avoir deux écrans de 24 pouces ou de même tailles, si c’est juste pour les palettes sur le second écran afin de libérer de la place sur votre écran principal, cela peut très bien être un vieux 17 pouces, que vous aviez oublié dans un coin, vous n’êtes absolument pas obligé d’avoir deux écrans de même taille même si c’est mieux La seule chose indispensable pour afficher sur deux écrans est que votre carte vidéo au dos du PC ait deux sorties:-) Vous pouvez aussi afficher votre catalogueur XnView sur l’un des écrans pour avoir toutes vos minatures et tous vos disques durs visibles sous les yeux, et un logiciel comme photofiltre ou Photshop Elements sur l’autre écran.

Vous voilà bien équipez